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Ces livres lus en 2014…

30 Déc

Dans la vie, je n’aime pas que le maquillage, j’aime aussi lire !
Beaucoup.
Petite, j’étais de ces gosses qui achetaient un truc à la FNAC et qui allaient voir leurs parents 1h après pour dire que l’affaire était pliée et qu’il fallait repartir faire des achats.
En grandissant, ça a empiré.

Tous les gens qui viennent à la maison sont toujours impressionnés par le nombre de bouquins qu’il y a dans ma bibliothèque aux toilettes !

Ces livres lus en 2014 - Charonbelli's blog mode, beauté, lifestyle

(oui, je suis de ceux qui optimisent la place jusqu’à mettre une bibliothèque aux wc !)

L’autre jour, je parlais de tout ce j’ai lu à l’une de mes copines et j’ai eu l’idée de faire ce billet !
(je tiens à te signaler que j’ai passé une année noire, du coup, ça se ressent par mal dans ce que j’ai pu lire !)

– Le mec de la tombe d’à côté, Les larmes de Tarzan (tu peux retrouver mes billets ici) et Le caveau de famille Katarina Mazetti
– Ne lâche pas ma main, Les nymphéas noirs Michel Bussi
– Scarpetta, Sans raison Patricia Cornwell
– Léviatemps, Requiem des abysses Maxime Chattam
– La faiseuse d’anges Camilla Lackberg
– Ta carrière est fi-nie Zoé Shepard
– La ligne de partage Nicholas Evans
– Birdman, L’homme du soir, Rituel, Skin Mo Hayder
– L’aliéniste Caleb Carr
– La trilogie berlinoise Philipp Kerr
– L’attrape cœur JD Salinger
– Il est de retour Timur Vermes
– Karoo Steve Tesich
– Oona et Salinger Frédéric Beigbeder
– Park Avenue Christina Alger

(comme j’ai effacé la liste que je tenais au fur et à mesure de l’année, je suis désolée pour les livres que j’ai pu oublier … et je pense notamment aux nombreux prêts !)

Et toi, t’as lu quoi en 2014 ?

Les larmes de Tarzan de Katarina Mazetti

20 Fév

Oui, j’ai encore craqué pour un Katarina Mazetti. Après celui là, c’est promis, on parlera d’autres bouquins.

Encore une fois, la dame nous embarque dans une histoire d’amour improbable.

Les larmes de Tarzan de Katarina Mazetti - Charonbelli's blog mode et beautéLes larmes de Tarzan, c’est tout simplement l’histoire de la rencontre plutôt fracassante entre Marina, mais il la surnommera Tarzan, et Janne.
C’est une fois de plus le choc de deux mondes totalement différents : elle, c’est une mère célibataire de deux enfants qui rêve encore sur leur père (perché et) évanoui dans la nature, et qui jongle autant qu’elle peut pour faire vivre sa petite famille. Lui, c’est tout l’inverse : il est beau, il est riche, il est célibataire, les filles à son bras sont toujours des « sur-femmes » et il n’aime pas les gosses.
Alors oui, quand ils se tombent dessus, c’est le choc des cultures, ça fait des étincelles…. Mais c’est aussi la marque de Katarina Mazetti : on prend deux mondes différents, on les met dans la même boîte, on n’a plus qu’à lire le résultat. Tout y passe : barrières sociales, inégalités… Mais il me semble que c’est ce qui fait le charme du roman !

La quatrième de couverture : Elle, c’est Mariana, mais leur rencontre fut assez fracassante pour qu’il la surnomme Tarzan. Lui, il s’appelle Janne, pour de vrai. Mère célibataire, elle élève seule deux enfants, caresse le souvenir de leur fantasque père évaporé dans la nature et tente de nourrir sa petite famille malgré des fins de mois asphyxiantes. Lui, il roule en Lamborghini, papillonne sans s’engager avec de jeunes femmes forcément cadres, élégantes et dynamiques, et déteste que des marmots salissent les sièges en cuir de sa voiture de sport. Ces deux-là peuvent-ils s’aimer ? Et si, malgré l’abîme qui les sépare, ils s’attachent l’un à l’autre, sauront-ils vivre une relation décomplexée qui fera fi des conventions et des barrières sociales ?

Réponse en le lisant !

Le mec de la tombe d’à côté de Katarina Mazetti

15 Jan

Au début du blog, j’avais lancé une rubrique « bouquin » que j’ai un peu abandonné en cours de route. Mais ça ne veut pas dire que j’ai arrêté de lire… Au contraire !

Comme à Noël on m’a offert un super livre, je voulais absolument en parler ici, c’est donc l’occasion de relancer un peu cette rubrique.

Donc le bouquin en question c’est Le mec de la tombe d’à côté de Katarina Mazetti. Je ne la connaissais pas du tout, il s’agit d’une journaliste suédoise, née en 1944, connue pour ses livres pour les petits et pour les grands… Et j’ai tellement aimé ce roman que j’ai envie de lire toute son œuvre !

Le mec de la tombe d'à côté de Katarina Mazetti - Charonbelli's blog mode et beautéPour te peindre rapidement l’histoire, ça nous raconte la rencontre de Désirée et Benny et tout ça a lieu dans un endroit un peu improbable : un cimetière (comme le titre l’indique !). Elle, elle est veuve, bibliothécaire et citadine, lui vit seul depuis le décès de sa mère et s’occupe de la ferme familiale.

La quatrième de couverture résume le livre comme ça :
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d’à côté, dont l’apparence l’agace autant que le tape-à-l’œil de la stèle qu’il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s’en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d’autodérision. Chaque fois qu’il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis… C’est le début d’une passion dévorante. C’est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d’amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.

On est assez loin du roman d’amour « plan plan », avec beaucoup d’humour, on va mettre en en avant le choc des cultures avec ses personnages que tout oppose et cela ressort d’autant plus puisque les chapitres alternent l’histoire vue par Désirée ou Benny. C’est vraiment une belle histoire avec de jolis moments de poésie et une belle morale… Bref, en ce moment, je le recommande à tout le monde !
Et comme je te le disais plus haut : j’ai tellement aimé le livre que 1) je l’ai lu en 3h et 2) j’ai filé acheter la suite dans la foulée et j’ai dévoré Le caveau de famille !

Et toi, tu connais Katarina Mazetti ?

Ma grande librairie : Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows.

23 Nov

Olala, c’est dur de devoir choisir un livre pour t’en parler !!!
(tellement dur que ça me bloque même pour trouver le titre de mon billet… Je peux pas le laisser vide le pauvre !)
Faudrait p’tet que je lise des trucs que j’aime pas, ça serait plus simple, je te dirais « ben j’ai lu ce bouquin. J’ai pas du tout aimé, ni le style, ni l’histoire ». Certes, ça serait un peu court, mais plus facile !
A la place, je m’entête à lire des trucs qui me plaisent…

Aujourd’hui, je vais te parler du Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows.
Je pense que si je te donne la bio de Mary Ann, tu comprendras largement l’histoire du livre. Il me semble qu’à elle seule, elle résume tout :

Mary Ann Shaffer est née en 1934 en Virginie-Occidentale. C’est lors d’un séjour à Londres, en 1976 qu’elle commence à s’intéresser à Guernesey. Sur un coup de tête, elle prend l’avion pour gagner cette petite île oubliée où elle reste coincée à cause d’un épais brouillard. Elle se plonge alors dans un ouvrage sur Jersey qu’elle dévore : ainsi naît sa fascination pour les îles Anglo-Normandes. Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates est son unique roman, écrit en collaboration avec sa nièce, Annie Barrows, elle-même auteur de livres pour enfants. Mary Ann Shaffer est décédée en février 2008, peu de temps après avoir appris que son livre allait être publié et traduit en plusieurs langues.

Quand un auteur est fasciné par un truc, il me semble que c’est un peu à double tranchant pour le lecteur : soit tu rentres dans l’histoire avec lui, soit tu la subis.
Et dans ce livre, ben en fait, tu rentres complétement dans l’histoire ! En 10 pages, tu deviens complétement accro !
Ce que j’ai le plus aimé le côté épistolaire du bouquin, y avait bien longtemps que j’avais pas lu un roman comme ça !

Si avec ça t’as pas envie de le lire :

Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d’un inconnu, un natif de l’île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis – un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d’un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d’une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates…) délices bien évidemment strictement prohibés par l’occupant. Jamais à court d’imagination, le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates déborde de charme, de drôlerie, de tendresse, d’humanité Juliet est conquise. Peu à peu, elle élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle et même d’autres habitants de Guernesey , découvrant l’histoire de l’île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l’impact de l’Occupation allemande sur leurs vies… Jusqu’au jour où elle comprend qu’elle tient avec le Cercle le sujet de son prochain roman. Alors elle répond à l’invitation chaleureuse de ses nouveaux amis et se rend à Guernesey. Ce qu’elle va trouver là-bas changera sa vie à jamais.

Ma grande librairie

2 Nov

Au début de ce blog, je te disais que j’aimais bien lire, mais jusqu’à présent, je ne l’ai pas trop montré… Alors j’ai décidé de rectifier ça, aujourd’hui, je vais te parler d’un bouquin que j’ai relu y a pas très longtemps (oui, je l’ai relu, c’est un truc assez rare chez moi. Même si je lis beaucoup, je relis très rarement mes livres, comme je me souviens des histoires…)

Donc je vais te parlais de Tokyo de Mo Hayder.

Une collègue m’avait raconté qu’elle l’avait lu et qu’elle avait eu méga les chocottes !!
En entendant ça, je me suis demandée comment on pouvait avoir peur en lisant un bouquin… La dernière fois que ça m’est arrivé, ça devait être à l’école primaire quand j’avais acheté un Chair de poule. Je crois que je peux dire que le livre m’avait terrorisé même !
Mais depuis plus rien. (pourtant c’est pas faute d’avoir cherché !!!)
Plus rien jusqu’à ce livre, où moi aussi, en lisant, ben j’ai eu une de ces trouilles !! Et tu sais quoi ? J’ai même adoré ça !!!

Je te l’ai déjà dit, je lis de tout (contrairement au cinéma où je vais voir peu de choses), j’ai des périodes « polar » mais jamais un livre ne m’a fait cet effet là !
L’atmosphère mise en place par l’écrivain t’embarque dès les premières pages !!
On entend toujours beaucoup de choses sur le Japon et à travers cette histoire, on découvre un eu

Si tu ne connais pas, je te le recommande vivement ! C’est le seul livre d’elle que j’ai pu lire pour l’instant, mais ça donne vraiment envie d’en découvrir d’autres !

Allez pour ne pas que tu fouines sur Amazon pour livre la quatrième de couverture, je te la donne :

Quand Grey débarque à Tokyo sans attaches, argent ni bagages, elle a beaucoup à prouver et encore plus à cacher. Sa rencontre avec Jason, pour lequel elle éprouve une fascination immédiate, est déterminante : il lui trouve un toit, une maison délabrée vouée à la démolition, et un emploi dans un club à hôtesses très privé. Ses clients ? Des yakuzas et un étrange infirme accompagné d’une nurse à la silhouette monstrueuse… Mœurs inavouables, violence, écrasant secret… Ce nouvel univers est pourtant familier à Grey. Le but de son voyage ? Retrouver un mystérieux film à l’existence contestée datant de l’invasion de la Chine par les Japonais. Un seul homme pourrait l’aider. Un survivant du massacre qui refuse de répondre à ses questions…

 

Sans transition, je tiens à souhaiter un très bon anniversaire à Princesse une fidèle lectrice!

 

Parlons un peu lecture

28 Août

Depuis le début de ce blog, je ne te parle que de trucs légers comme les vernis, le maquillage, les produits de beauté, et je corse un peu quand j’évoque mes plus ou moins ratés culinaires.
Mais y a un autre truc que j’aime beaucoup : lire ! Il m’arrive d’avoir des « crises de lecture » parfois, et je peux réussir à enchaîner jusqu’à 30 livres en 3 mois… (oui, je sais ça fait un peu boulimique de le lecture… mais on ne se refait pas !)

C’est toujours le même schéma, je découvre un auteur, au mieux j’aime pas et c’est tant mieux pour ma bibliothèque j’ai envie de te dire, au pire, je tombe sous le charme et je m’avale tout ce qu’il a pu écrire jusqu’à aujourd’hui (no comment !).

J’ai beau essayé de freiner et de varier en lisant d’autres auteurs entre 2 tomes de celui du moment, mais je finis toujours par craquer et lire 3 tomes d’un coup. Quitte après à culpabiliser parce que en y réfléchissant, quand on enchaîne autant de livres, on n’apprécie plus autant l’histoire il me semble.

Mais à force d’y travailler, j’ai réussi à espacer de plusieurs mois 2 tomes ! L’auteur concerné est Carlos Luiz Zafon (écrivain et scénariste catalan). Je ne sais pas si tu connais, mais je suis tombée sous le charme. Je n’ai lu que deux de ces livres, mais ce n’est que le début !

Son premier roman est L’ombre du vent (qui est carrément une tuerie), je te cite la 4ème de couverture : Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, « ville des Prodiges » marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon – Daniel Sempere, le narrateur – dans un lieu mystérieux du quartier Gothique : le Cimetière des livres oubliés. L’enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d’occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y « adopter » un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets « enterrés dans l’âme de la ville » : L’Ombre du vent. Avec ce tableau historique, roman d’apprentissage évoquant les émois de l’adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l’Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s’emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafón mêle inextricablement la littérature et la vie.

Au début, j’ai eu un peu de mal y me mettre dans l’histoire, je trouvais que c’était lent, mais comme je déteste commencer un livre et ne pas le finir, je me suis « forcée » et j’ai bien fait ! (bon faut dire que je sortais d’une énorme période « polar »… La transition n’est jamais facile dans ces cas là !)
Ce premier roman pose bien l’univers si particulier (et si fanstatique !!!) de Zafon.

Le troisième est Marina (oui, je sais, j’ai pas lu dans l’ordre de sortie !) (et lui aussi c’est une tuerie !), là aussi, je te cite la 4ème de couverture : Interne au pensionnat, Óscar aime faire le mur, errer dans les rues désertes, les pinèdes, les villas d’un quartier laissé à l’abandon. Il suffira d’un chat et d’une montre en or pour qu’il bascule au pays des merveilles. Un royaume hanté par des amours mortes, un savant fou et les fantômes de Gaudí. Une Barcelone de rêve et de cauchemar, de théâtre et de cimetière, souterraine et baroque, d’où seul s’évadera le souvenir de son guide : l’inoubliable Marina…

Encore une fois, on plonge directement dans un monde parallèle !

Ce que j’aime depuis le début avec cet auteur, c’est qu’en lisant ces romans, on retombe presque en enfance grâce aux personnages et à leurs aventures.

Donc si tu n’es pas déjà sur Amazon en train de commander un de ces deux livres, fais le vite !

Mes livres de cuisine favoris

18 Juil

Pour changer des recettes du mercredi, je vais vous présenter mes livres de recettes chéris. Bon, ne vous fiez pas à la photo, je les aime tous et j’arrivais pas à faire une « belle » photo sans toute la collection !
Je vais même relever la difficulté en choisissant seulement 4 livres ET en les classant par ordre de préférence (et franchement, c’est pas facile, c’est comme si on me demandait de classer mes chaussures !) :

– Mes Jamie Oliver : non, c’est pas le premier parce que je le trouve méga beau et qu’en plus il est Anglais, ni parce que j’adore aller manger un morceau dans ses restos quand je vais à Londres. Non, c’est le premier parce c’est lui qui a le plus de recettes que j’aime. Puis les recettes sont simples et juste bonnes ! Et j’aime particulièrement le « 30 minutes chrono » (ça change du « We only got 4 minutes to save the world » de Madonna et Justin) parce quand on sait pas trop quoi cuisiner et qu’on n’a pas le temps, on trouve tout le temps LE TRUC à faire (ma révélation a été avec sa « tourte filo aux épinards et à la feta » et à laquelle je voue littéralement un culte !! Et même que les p’tits mangent des épinards avec ça !)
En plus des recettes, j’adoooooore les photos, j’ai l’impression de me balader avec lui dès que j’ouvre l’Italie de Jamie !
En fait, le seul truc que j’aime pas dans ces livres, c’est l’encre qui sent beaucoup trop fort (et beaucoup trop mauvais à mon goût !!!!).

              

– Mon Trish Deseine, sans mon « I love cake », je pense que je ne serais pas moi !! Je l’ai déjà mis dans ce blog, mais vraiment, quand on voit des recettes aussi simples, ça donne envie de faire de la pâtisserie (et ça change des bouquins de macarons où TOUT à l’air simple, c’est vraiment qu’une impression !!!! (on sent le mauvais souvenir là !!!)).
Ici aussi, les photos sont tellement chouettes que ça ne donne qu’une seule envie : filer en vitesse faire des courses, enfiler le tablier, préchauffer le four et sortir le robot !

– Mon Album Larousse Nutella, Lait concentré, crème de marrons (si je devais le classer par ordre d’attachement, ça serait le premier, j’ai énormément de souvenirs avec ce livre). Là aussi, les recettes sont hyper simples, et surtout grâce à lui, je ne râle plus parce que « 1 Bounty, c’est pas assez », non maintenant, j’ai la recette pour m’en faire un plat rien que pour moi !!!

– Mes petits plats Marabout : « Réinventez vos tartes » et « Croquez monsieur », ça révolutionne les pauses déjeuner !!

Bon, je ne peux pas résister, faut que je parle aussi des autres !! (y a pas d’ordre là !!)
Parce que je ne peux pas ne pas vous dire qu’il faut aussi lire les recettes inavouables, ça donne toujours de bonnes idées.
Parce que le Petit livre d’or de la cuisine réunionnaise, Le vrai gôut de New York, Yes we cook, God save the cook, Bagels comme à New York, Mes petits bento, Woopies me donnent en plus envie de partir en vacances !!

Si avec tout ça, vous n’avez pas envie de cuisiner !!